Archives de la catégorie: À voir, à lire, à écouter, à faire…

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Au Québec enfants violés, en Irlande enfants volés

L’église catholique est bien la même partout. Une institution dont la proximité avec le pouvoir fut la source d’abus et d’arrogance.

Philomena raconte l’histoire vraie d’une mère de qui les Soeurs religieuses ont volé l’enfant pour le revendre à une riche famille américaine.
Martin, le fils de Philomena Lee, un homosexuel agissant comme conseiller auprès du président Reagan mais qui a fini par s’en dissocier à cause de ses politiques anti-gay, entrepris de nombreuses démarches pour retrouver sa mère jusqu’à choisir de se faire enterrer, après qu’il fut emporté par le Sida, dans le cimetière des Soeurs qui l’avaient arraché à celle-ci. Et après sa mort, ces mêmes religieuses ont poussé l’odieux jusqu’à tout faire pour empêcher que Philoména retrouve les traces de son fils.
Un film de Stephen Frears qui a dit souhaiter que ce film soit vu par le pape.

La version française du film était présentée en première au Quartier latin jeudi le 28 novembre 2013.

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Du théâtre explicite, dénonciateur et beau

La Resistenza

Des mots justes pour des faits réels. De la corruption du régime de Berlusconi au fascisme de Mussolini, le théâtre de l’Opsis nous entraîne dans une réflexion sur le fil conducteur qui lie le pouvoir dominant de la haute finance à la condition de plus en plus misérable du peuple, à la déchéance de la morale et à la répression policière. Par des citations des protagonistes eux-mêmes ou de personnalités antiques, la Résistenza met en relief le caractère universel des vices du pouvoir, dans le temps et dans l’espace. Ce qui nous incite immanquablement à nous questionner sur notre propre environnement politique, social et économique. Tout y passe, de la nature du capitalisme au rôle des institutions financières comme le FMI et la Banque mondiale, jusqu’à l’Espoir qui monte des chants des partisans.

Encore une fois, des mots justes pour des faits réels avec de beaux et bons comédienNEs.


Était présentée à la cinquième salle de la place des arts du 3 au 19 octobre dernier.

À voir, à lire, à écouter, à faire... Scène internationale

Le Marx de Henri-Pena Ruiz

Source :
Claude demers pour Québec humaniste

Compte-rendu du livre « Marx quand même » de Henri-Pena Ruiz


La pensée de Marx et l’idéologie

« Il ne faut pas regretter d’avoir rêvé d’un autre monde. Ni d’avoir consacré tout ou partie de sa vie à tenter de le faire advenir ». C’est avec ces mots, qu’on dirait à l’intention des nostalgiques, qu’Henri-Pena Ruiz débute son plus récent ouvrage « Marx quand même ». Une invitation à relire Karl Marx et à mieux comprendre sa pensée, libérée de sa caricature stalinienne et du capitalisme d’État soviétique qui en revendiquait la filiation.

Loin de la nostalgie, l’auteur invite toutefois à une réflexion critique quant au démembrement de l’Union soviétique et des pays socialistes et sur les raisons d’un tel échec. Il dément la formule de Francis Fukuyama, selon laquelle nous assistons depuis la fin du 20e siècle à la fin de l’histoire, caractérisée par la disparition des idéologies. En critiquant le philosophe américain, Pena-Ruiz démontre avec éloquence qu’émancipation sociale et rêve d’un monde meilleur ne furent jamais pour Karl Marx, l’expression d’une idéologie.

Certes, l’idée d’une alternative sociale et économique relève au départ d’un rêve. Mais ce rêve se forme à l’intérieur d’un « processus d’émancipation » et non à partir d’une  » recette toute faite « . Il émerge d’une réalité sociale fondée sur l’exploitation, l’injustice et l’oppression.

Marx avait bien décrit la nature et les rouages du système capitaliste et de l’idéologie libérale qui le soutenait. Un système qui enrichit une minorité dans la mesure où la grande majorité est exclue de cette même richesse. Il avait démontré comment la démocratie formelle relevait essentiellement de la rhétorique, même s’il voyait dans les gains du mouvement ouvrier de réels acquis, tant au niveau matériel que de la prise de conscience, du fait notamment que cette démocratie exprime avant tout un rapport de force entre les classes. Né à travers un processus de consolidation nationale, le capital selon Marx n’allait pas s’embarrasser des États nationaux. Il anticipait déjà le phénomène de la mondialisation propre à notre époque. Un phénomène qui n’a rien à voir avec le processus naturel de l’internationalisation du travail.

Deux-cents ans de capitalisme n’ont guère changé la donne. Richesse et opulence côtoient toujours misère et pauvreté. Les crises économiques se succèdent, les guerres se multiplient. Inégalité, oppression et drames sociaux caractérisent le capitalisme et le néolibéralisme tout comme cela était à l’époque de la Commune de Paris et de la fin du 19e. Passé les trente glorieuses (1945 – 1975 ) où les gains des travailleurs à travers le monde ont contribué à rétablir, pour un temps, un certain équilibre, le capitalisme s’est employé à gruger ces gains et à externaliser les coûts de production, particulièrement par le biais des atteintes à la nature et à l’écosystème. Les progrès de la technologie et de la science, l’augmentation de la productivité, sont mis à profit non pour améliorer le sort de l’humanité, mais pour réduire le coût de la force de travail. Ce qui élargit l’écart entre les revenus des capitalistes et ceux des travailleurs. En même temps, les dommages souvent irréversibles qui fragilisent et menacent la nature ne sont pas comptabilisés dans les coûts de production. Ils seront à la charge des travailleurs et de toute la population.

Se référant à la métaphore de Karl Marx dans sa critique de la philosophie du droit de Hegel, Henri-Pena Ruiz écrit: « D’un côté la terre des rapports sociaux qui tissent la société civile, lieu des activités productrices… De l’autre, le ciel des grands principes évoqués, sphère du débat public et des discours politiques empreints de rhétorique et d’incantation… ». Marx dénonçait l’idéologie qui dans son essence idéalisait des principes et des valeurs qui ne passaient pas l’épreuve de la réalité sociale. D’où ses critiques virulentes à l’égard de la démocratie formelle ou encore de la fameuse « main invisible » qui, selon Adam Smith, devait réguler l’équilibre du marché. Fondements de l’idéologie néo-libérale, cette démocratie et ce concept trompeur de l’autorégulation du marché conduisent directement au rejet de toutes les mesures de réglementation, voire à la disparition de l’État dans ses fonctions sociales et de modération pour contrer les abus extrêmes du capitalisme, mais à son renforcement quant à ses fonctions répressives.

Le parti-pris de Karl Marx en faveur des travailleurs et des forces d’émancipation sociale ne relève pas d’une idéologie, mais d’une opposition à l’idéologie libérale. « Lorsque la hiérarchie exprime la domination d’un groupe sur un autre, écrit Pena Ruiz, le propre du principe d’unification est de présenter cette hiérarchie comme naturelle et nécessaire, et de développer ainsi une idéologie d’assujettissement ». L’auteur souligne que pour Marx l’alternative, plutôt que de se fonder sur un modèle, partait de ce qu’il était possible d’accomplir.

Le rapport de l’homme à la nature: Marx était un «écologiste» et un naturaliste

Les conditions ont changé. D’aucuns se réfèrent à ces changements pour invalider l’analyse et la critique du capitalisme faites par Karl Marx et son ami Friedrich Engels. La classe ouvrière s’est transformée, le capital industriel a cédé le pas au capital financier, les entreprises sont devenues transnationales et surtout, la science contemporaine a révélé un phénomène qu’elle ignorait totalement à l’époque de Karl Marx, soit les menaces directes à l’écosystème.

En réalité, ces transformations plutôt que d’invalider la pensée de Marx la rendent plus actuelle. Ce qu’on appelle aujourd’hui la classe moyenne n’est rien d’autre, en fait, que la grande majorité des travailleurs. Elle représente en proportion une part considérablement plus grande de la force productive que la classe ouvrière à proprement parler. Ses écarts de revenus à l’égard de ceux du grand patronat grandissent de façon exponentielle. La domination du capital financier par ailleurs, illustre l’exacerbation du fétichisme cultivé par le capitalisme envers la monnaie et les produits de consommation. Ce qui faisait dire à Marx que le capitalisme créait non seulement les produits, mais aussi les consommateurs. Donnant ainsi, tant à la monnaie qu’aux produits de consommation, une valeur de nature idéologique sans aucun rapport avec les besoins réels de la société.

Quant à la domination des transnationales qui accompagne le phénomène de la mondialisation, elle assujettit encore davantage l’État, rendant complètement obsolète toute notion de souveraineté nationale et populaire sous le capitalisme à l’ère de l’ultralibéralisme. Henri Pena-Ruiz nous rappelle encore que Marx n’était pas un productiviste. Il ne voyait pas dans la production une finalité en soi. Il cite cette phrase éclairante du philosophe selon qui « le capitalisme épuise l’homme et la terre ». Selon Marx, l’homme est une partie inhérente de la nature qui en constitue le corps non organique. Critiquant les formes de développement industriel de l’agriculture, Marx écrivait dans Le Capital « …tout progrès de l’agriculture capitaliste n’est pas seulement un progrès dans l’art de spolier le travail, mais dans l’art de spolier le sol, tout progrès dans l’élévation de sa fertilité pour un temps donné est un progrès dans la ruine des deux sources à long terme de cette fertilité […] la production capitaliste ne développe la technique et la combinaison du procès social qu’en minant en même temps les sources qui font jaillir toute richesse ». Dans « Dialectique de la nature » Engels précisera: «Nous ne devons pas nous vanter trop de nos victoires humaines sur la nature. Pour chacune de ces victoires, la nature se venge sur nous. Il est vrai que chaque victoire nous donne, en première instance, les résultats attendus, mais en deuxième et troisième instance elle a des effets différents, inattendus, qui trop souvent annulent le premier… Les faits nous rappellent à chaque pas que nous ne régnons nullement sur la nature comme un conquérant règne sur un peuple étranger […] mais que nous lui appartenons avec notre chair […] toute notre domination sur elle réside dans l’avantage que nous avons sur l’ensemble des autres créatures de connaître ses lois et à pouvoir nous en servir judicieusement».

Selon Pena-Ruiz, Marx aurait dénoncé le productivisme stalinien et le capitalisme d’État soviétique où le contrôle du Parti s’est littéralement substitué à une véritable souveraineté populaire, ce qui a conduit notamment à des aberrations telles que l’assèchement de la mer d’Aral et la catastrophe de Tchernobyl. Et, pourrions-nous ajouter, sur un plan plus politique, le vol des entreprises d’État par les oligarques russes.

Du projet révolutionnaire

L’espace réservé pour ce compte-rendu ne permet pas de rendre justice à l’étude d’Henri-Pena Ruiz qui aborde dans «Marx quand même» nombre d’autres sujets, dont la question de la laïcité, la question nationale, le communautarisme, le socialisme, la liberté individuelle… et surtout le caractère révolutionnaire de la pensée de Marx, son analyse du rôle de
l’État.

Tout en dénonçant la caricature faite par le stalinisme de la pensée de Marx, Pena-Ruiz (qui ne rejette pas entièrement les acquis de l’Union soviétique) rejette cependant les amalgames trop faciles qui associent l’échec de l’Union soviétique avec la pensée de Marx, tout comme il rejette aussi l’amalgame du « totalitarisme », un concept « fourre-tout », qui met sur un pied d’égalité fascisme et communisme. « C’est que, de Marx au goulag stalinien, il y a la contradiction qui existe entre la promotion de l’émancipation et celle de l’oppression, alors que, des théories nazies au génocide juif, il y a mise en œuvre conséquente et cohérente d’une conception oppressive assumée avec le soutien du grand capital ».

« Ni volontarisme abusif, ni fatalisme propre à déresponsabiliser » dira encore Henri Pena-Ruiz faisant référence au projet révolutionnaire. « Ainsi, transformer le monde ce n’est pas forcer le réel à se plier au tableau d’une société idéale préconçue, mais faire en sorte que les conditions du libre accomplissement des hommes soient réunies ». Marx le philosophe voyait dans la classe ouvrière une classe universelle en ce sens qu’elle est la seule classe sociale dont les aspirations sont strictement liées à la disparition des antagonismes de classes. Un constat qui, pourrait-on dire, s’étend aujourd’hui à l’ensemble des travailleurs. Pour lui, le «libre accomplissement des hommes » exprime l’idée même d’une réconciliation de l’homme avec lui-même et avec la nature et de ce fait, d’une réconciliation de la nature avec elle-même.

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Michel Collon et Michel Chossudovsky à Montréal.

Dans le cadre d’une tournée au Québec le 4 juillet prochain, Michel Collon et Michel Chossudovsky donneront une conférence au Centre St-Pierre, à Montréal sur le thème: Les enjeux de la crise mondiale : Austérité, guerres, violence et mensonges. À ne pas manquer.

Sur le thème « Rencontre du savoir » Michel Chossudovsky sera aussi modérateur et conférencier d’une rencontre qui aura lieu à la Bibliothèque nationale du Québec le 6 et 7 juillet prochain. Participeront à la rencontre en tant que conférencier : Michel Collon, Pascual Serrano, Carlos Taibo, Theotonio Dos Santo, Micol Savia, Arleen Rodriguez et Jorge Valero. La rencontre est parrainé par la République bolivarienne du Venezuela au Canada

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Éditions Dédicaces

Une maison d’édition audacieuse et avant-gardiste. Les Éditions dédicaces sont partout. Elles ont leur site Web, leur blogue, leur application iPhone et Android. Elles sont sur Facebook et sur Twitter. Ouvertes aux jeunes auteurs, en fait aux nouveaux auteurs, la mission de cette maison est ni plus ni moins de créer un pont entre la création littéraire et le lecteur. Et quel pont ? Celui du numérique et de la licence Creative commons.

À consulter pour découvrir des créations littéraires que vous ne trouverez pas ailleurs. À contacter pour que votre inspiration créatrice trouve preneur.

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Un pur capitalisme

Statisticien et économiste Michel Husson a publié en 2008 un ouvrage intitulé : »Un pur capitalisme », un titre qui fait référence au fait que l’évolution du capitalisme dans sa forme néolibérale actuelle ramène ce système économique à ses manifestations d’origine dont la structure et les rapports furent abondamment analysés par les auteurs classiques, notamment par Karl Marx. Ce qui rend d’autant plus et toujours d’actualité l’analyse marxiste de l’économie.
Le site internet contretemps a mis en ligne en accord avec l’éditeur trois chapitres du livre dont le chapitre 15 qui soulève la pertinence de l’analyse de Marx à notre époque et malgré les transformations considérables du capitalisme depuis le 18e siècle.

Ces chapitres peuvent être téléchargés en format .pdf

Chapitre 1
Chapitre 11
Chapitre 15


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Pierre Rochette à Sainte-Agathe

Deux jeunes cinéastes, Véronique Leduc et Geneviève Vézina-Montplaisir, qui ont suivi le parcours de Pierre Rochette depuis les deux dernières années présenteront le documentaire : « Mon ami Pierrot, le dernier homme libre » au Patriote de Sainte-Agathe Samedi le 30 octobre à 20h00.

Pour plus d’info.

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Québec athée

Québec athée par Claude Braun :

Il est commun d’entendre un croyant affirmer qu’il appartient aux athées de démontrer l’inexistence de Dieu. Une forme de pensée unique qui prend son point de départ dans cette idée que Dieu est omniprésent mais aussi que les athées sont soient marginaux ou mieux, n’existent tout simplement pas.

À l’heure où le cours d’éthique et de culture religieuse interdit toute véritable critique du rôle de la religion à travers les siècles et fait le silence complet sur l’athéisme, l’ouvrage de Claude Braun est particulièrement éclairant.

À lire… pour ne pas avoir mauvaise conscience.

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Le rendez-vous des médias citoyens – 2e édition

Lundi 23 août 2010

Le Rendez-vous des médias citoyens est de retour pour une deuxième édition. A l’ère où les médias de masse sont de plus en plus fragiles (revenus publicitaires en déclin, crise financière, révolution numérique, fragmentation des auditoires, etc.), les médias citoyens ont une chance inouïe d’occuper davantage la sphère publique, particulièrement grâce aux réseaux sociaux et à la démocratisation des moyens de production.

Plus d’infos ici

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Jean-François Giguère – Cabaletta

Jazz – Blues – Gospel – Musique du monde.

Jean-François Giguère, guitariste et créateur chevronné vous propose de redécouvrir des pièces du répertoire jazz et pop d’une façon tout à fait hors du commun. Entouré de deux chanteuses exceptionnelles; Céline Bélair et Sandra Jean, d’une artillerie de guitares, et de musiciens de talent (Pat Loiselle, Samuel Cournoyer et Justin Allard), il réussit à faire côtoyer de façon naturelle les plus beaux accents du Gospel, du Blues et de musique du monde. http://www.jfgmusik.com
Tous les Lundis sauf le 1er du mois
Ze Lazy Strings : les cordes paresseuses.  Un band de gars ordinaires qui jouent de la musique de party hors de l’ordinaire… avec une ‘tite frette entre les jambes!!  Inspirés par les grands noms du rock, ce band hétéroclite revisite des œuvres incontournables à sa façon, une vraie orgie de notes! Venez vous défouler! Rien que des « covers » pour s’éclater et oublier la récession… 3 voix, 2 basses, 3 guitares, 1 drummer, beaucoup de fils et d’amplis, et un désir contagieux de s’amuser et de faire beaucoup de bruit. À ne pas manquer. Notre slogan : Don’t worry, be Lazy !

Jean-François Giguère que vous avez peut-être découvert avec Reminiscing du groupe VooDoo Scat à l’émission Belle et Bum en mars 2008 sera au Bar/spectacles La place à côté mardi le 26 mai à 21h00. Prix d’entrée 10 $.

Sur scène :

Jean-François Giguère : guitare
Céline Bélair : voix
Sandra Jean : voix
Pat Loiselle : guitare
Samuel Cournoyer : basse
Justin Allard : batterie

Pour plus d’infos : VooDoo Scat

La Limonade vous présente chaque mardi un spectacle improvisé dans lequel s’affrontent deux équipes, sous les ordres d’un maître de jeu invité à qui on donne « carte blanche ». Pour sa 15e saison, la Limonade se déplace vers La Place à côté afin de vous divertir.
www.lalimonade.com
LAZARUS HEART  est un groupe hommage qui vous propose un voyage dans l’Univers de Sting & The Police.  Le groupe est composé de quatre musiciens montréalais : Sly (voix, basse & basse fretless),  Luc Catelier (Batterie), Guillaume Larouche (Saxophone) et Dimitri Lebel (Guitare). Revivez les grands classiques de ce quatuor britannique en faisant une rétrospection dans la carrière solo de leur chanteur  Sting. Le Rock, Pop, Reggae, Jazz, Ska, Fusion sont au rendez-vous. www.myspace.com/lazarushearttributeband
endredi 22 mai aura lieu le spectacle du groupe rock alternatif Flam Grismo! Venez faire le party et vous amuser en notre compagnie! Un spectacle à ne pas manquer! Nos compositions ainsi que des Covers de Red Hot Chili Peppers, de Muse et de plusieurs autres artistes durant la soirée.
Contacter nous pour plus d’informations au (514) 213-7933 ou par email : flamgrismo@live.ca http://myspace.com/flamgrismo