Dans son blog « De Bagdad à Jérusalem L’Orient indiscret » Le Figaro, Georges Malbrunot s’en prend dans un texte intitulé « Comment la Syrie et la Russie ont piégé la Ligue arabe ? » à la récente Mission d’observateurs qui s’est rendue en Syrie. Je vous invite à lire l’article mais surtout les commentaires qui font presque l’unanimité contre le point de vue véhiculé par l’auteur.
Mon commentaire :
Un article avec peu de sources vérifiables et beaucoup de conditionnel. J’aime particulièrement ces deux phrases:
« Les observateurs ont dû recevoir un message clair de Damas que s’ils embêtaient trop le régime, ils n’auraient pas droit à une deuxième visite »
et
Comble de l’histoire : Damas aurait même eu une sorte de droit de veto sur leur désignation.
Ça c’est ce qu’on appelle du journalisme « rigoureux » ou si vous voulez mon avis, de l’opinion préfabriquée.
Si je comprends bien, il fallait aussi un mission d’observateurs à l’opinion préfabriquée sinon ce ne pouvait être une vraie mission d’observateurs.
Une chance comme dit si bien HW que les commentateurs eux ne se laissent pas berner. Pour être de circonstance je dirais même « piégés »
En réponse à Georges Malbrunot
Dans son blog « De Bagdad à Jérusalem L’Orient indiscret » Le Figaro, Georges Malbrunot s’en prend dans un texte intitulé « Comment la Syrie et la Russie ont piégé la Ligue arabe ? » à la récente Mission d’observateurs qui s’est rendue en Syrie. Je vous invite à lire l’article mais surtout les commentaires qui font presque l’unanimité contre le point de vue véhiculé par l’auteur.
Mon commentaire :
Un article avec peu de sources vérifiables et beaucoup de conditionnel. J’aime particulièrement ces deux phrases:
« Les observateurs ont dû recevoir un message clair de Damas que s’ils embêtaient trop le régime, ils n’auraient pas droit à une deuxième visite »
et
Comble de l’histoire : Damas aurait même eu une sorte de droit de veto sur leur désignation.
Ça c’est ce qu’on appelle du journalisme « rigoureux » ou si vous voulez mon avis, de l’opinion préfabriquée.
Si je comprends bien, il fallait aussi un mission d’observateurs à l’opinion préfabriquée sinon ce ne pouvait être une vraie mission d’observateurs.
Une chance comme dit si bien HW que les commentateurs eux ne se laissent pas berner. Pour être de circonstance je dirais même « piégés »